Des avis publiés par la FAA ont souligné l’impact que la technologie de réseau sans fil peut avoir sur les appareils électroniques sensibles des aéronefs

La Federal Aviation Administration (FAA) des États-Unis a révélé qu’elle était en pourparlers avec des avionneurs, des compagnies aériennes et des fournisseurs de services sans fil pour réduire l’impact de la nouvelle technologie avant son lancement prévu le 19 janvier.

Dans les avis aux missions aériennes (NOTAM) publiés jeudi, il a indiqué que « les avions avec des altimètres non testés, ou qui doivent être modernisés ou remplacés, ne seront pas en mesure d’effectuer des atterrissages par faible visibilité là où la 5G est déployée. »

Plus de 300 NOTAM ont été publiés à 1h00 HE (6h00 GMT) autour des principaux aéroports et endroits où des aéronefs sont susceptibles d’être en service, tels que des hôpitaux dotés d’installations de transport aérien médical.

La FAA a précédemment suggéré que le réseau 5G pourrait avoir un impact sur les équipements aéronautiques sensibles, y compris les altimètres, mais jeudi, l’agence a fourni des détails spécifiques décrivant ses préoccupations.

Dans le cadre de son examen de la technologie sans fil, l’agence a reçu des données supplémentaires sur l’emplacement des émetteurs qui, selon elle, lui ont permis d’établir l’impact que cela pourrait avoir sur les avions et leur capacité à fonctionner.

On pense que les approches dans les grands aéroports où la 5G a été déployée seront impactées, bien que la FAA pense que certaines approches guidées par GPS seront toujours possibles dans certains centres de transport.




Abordant la situation, la FAA a déclaré qu’elle était toujours « travailler pour déterminer quels altimètres radar seront fiables et précis avec la bande C 5G déployée », ajoutant qu’il s’attendait « fournir bientôt des mises à jour sur le pourcentage estimé d’avions commerciaux » cela serait affecté.

Plus tôt cette année, les fournisseurs de services sans fil AT&T et Verizon Communications ont convenu de mettre en place des zones tampons autour de 50 aéroports dans le but de réduire le risque d’interférence potentielle et de retarder le déploiement de deux semaines pour permettre aux autorités de l’aviation d’adopter des mesures de sécurité.

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La source: www.rt.com

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