Le Pontife a mis en garde contre une “catastrophe finale” qui pourrait “éteindre” la race humaine
Le pape François a invoqué la menace d’une guerre nucléaire, avertissant que l’humanité devrait “commencer à partir de zéro” en cas d’échange thermonucléaire et que l’attention du monde est de plus en plus focalisée sur une calamité mondiale.
S’exprimant lors de son discours hebdomadaire mercredi, le pape a déclaré que “extraordinaire” progrès technologique et “un futur plein de machines” justifient un certain optimisme, mais notent que l’humanité pourrait encore emprunter une autre voie.
« D’autre part, notre imagination apparaît de plus en plus concentrée sur la représentation d’une catastrophe finale qui nous éteindra. Que se passe-t-il avec une éventuelle guerre nucléaire ? il a dit. « Le ‘jour d’après’ – s’il y aura encore des jours et des êtres humains – devra recommencer à zéro. Tout détruire pour repartir de zéro.
Bien que François ait dit qu’il ne voulait pas “banaliser l’idée de progrès”, il a fait valoir que “Inondation” l’imagerie est “gagner du terrain dans notre subconscient” – une référence au récit biblique du déluge trouvé dans le Livre de la Genèse.
Le pape n’a pas directement lié ses remarques au conflit en cours en Ukraine, bien que le débat public sur une zone d’exclusion aérienne soutenue par l’Occident et la perspective d’hostilités directes avec la Russie ait suscité de nombreuses prédictions de «troisième guerre mondiale» et d’anéantissement atomique même dans le monde. les lieux les plus traditionnels.
Alors qu’une grande partie du discours de mercredi était centrée sur le vieillissement et la corruption sociale, François a plus tard dédié une prière à l’Ukraine dans laquelle il a fait référence au “main de Caïn” – un personnage biblique qui a tué son propre frère – mais s’est abstenu de condamner une nation en particulier. Il avait précédemment dénoncé le conflit comme “la démence” et dit “Ce n’est pas seulement une opération militaire mais une guerre qui mène à la mort, à la destruction et à la misère.”
Le chef de l’église a été critiqué pour ne pas avoir directement blâmé Moscou pour le conflit, les accusations que le Vatican a rejetées, arguant des remarques publiques du pape, ou “le pasteur de l’église universelle,” ne devrait pas prendre le ton d’un “programme d’information télévisée”.
François a récemment rencontré le chef de l’Église orthodoxe russe, le patriarche Cyrille de Moscou, pour discuter des combats en Ukraine, à savoir la « Aspects humanitaires de la crise actuelle » et comment “surmonter ses conséquences.” Les deux ont convenu qu’ils « ne doit pas utiliser le langage de la politique, mais le langage de Jésus,» et avoir un “devoir d’être proche et d’aider toutes les personnes qui souffrent de la guerre.”
Vous pouvez partager cette histoire sur les réseaux sociaux :
La source: www.rt.com